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à sa biographie et à ses livres:
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Asotsiatsiya rishuche zasudzhuye vtorhnennya Rosiyi v Ukrayinu. Vona vid usiyeyi dushi z hromadyanamy Ukrayiny, yaki vzhe kilʹka dniv strazhdayutʹ vid vidrodzhennya viyny na yikhniy terytoriyi. U nas ye osoblyva dumka dlya pysʹmennykiv i zhurnalistiv, yaki perezhyvayutʹ dramatychnu sytuatsiyu. Dopomoha Ukrayini, navitʹ z nashymy skromnymy zasobamy u sviti kulʹtury ta chytannya, zalyshayetʹsya nalezhnoyu.

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L’Association des écrivains neuchâtelois et jurassiens (AENJ) rassemble depuis 1950 des poètes, des romanciers, des essayistes ou encore des chroniqueurs et des liberettistes liés au canton de Neuchâtel et du Jura ainsi qu’à la partie francophone du canton de Berne. |
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Dans cette fantaisie aigre-douce, un octogénaire se scinde en deux auteurs : le vieillard qu'il est, le jeune homme qu'il fut. Ils composent tour à tour des textes forcément différents, sérieux côté patriarche, dégourdis de la part du cadet. La nouvelle, nettement dominante, voisine avec un texte théâtral dialogué, quelques poèmes, des réflexions sur le cours des choses. |
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Abram se remit au milieu du chemin en criant et en agitant les bras : « Saute du char, Jean ! Saute ! Saute ! » Jean tourna la tête vers lui et le regarda, une ombre de frayeur dans les yeux. Il sentait sur sa figure le courant d’air de la vitesse. Ne sachant plus quoi faire pour ralentir son cheval, toutes ses tentatives ayant échoué, il lâcha les rênes et sauta. Après avoir touché le sol sur ses pieds, il fut projeté en avant et disparut dans les hautes herbes. Débarrassé de son conducteur, le cheval continua sa course folle à travers les champs en hennissant et en martelant la terre de ses sabots. Abram, la bouche ouverte, resta un instant interdit. Le choc passé, il se précipita à la recherche du jeune homme qu’il connaissait bien. |
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Portier dans un hôtel chic de la République de Telazzo, Ahmad découvre par hasard une momie dans son grenier. L’égyptologue Lea Caccini est appelée pour l’expertiser. D’après les hiéroglyphes qu’elle déchiffre sur le sarcophage vieux de 2’800 ans, celui-ci aurait été destiné à un prêtre du dieu-serpent Mehen. Des analyses établissent toutefois la mort récente du jeune homme momifié, ainsi que son étonnante parenté avec Ahmad. Ces découvertes ravivent les vieux souvenirs de Lea : les fouilles qu’elle avait menées au Soudan sur un site archéologique nubien et une morsure de vipère, soignée par un mystérieux vieillard. Troublé à cette évocation, Ahmad se souvient lui aussi d’une guérison miraculeuse dans les mêmes |
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Robert è cresciuto in un modesto quartiere di Ginevra, con una madre devota e un padre che ha idee di sinistra. Per una passione coltivata sin dall’infanzia, da adulto, diviene controllore sui treni. Lorraine, l’altra protagonista del romanzo, appartiene invece a una ricca stirpe di banchieri e vive in una splendida casa sul lago Lemano in Svizzera. Borghese romantica, ama i genitori e aspira a una carriera come violinista. |
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«Ainsi, chaque jour, je regarde l'oiseau dans son bocal. Il n'a pas changé depuis le jour où je fermai le bocal. J'ai changé et vieilli davantage que le moineau. Il est mon rêve de vie et de mort. Il est ma permanence, et je tiens à lui davantage qu'à moi-même. C'est le moineau de mon Temps perdu. C'est le moineau de mon projet, de mon affection, de mon souci, de mon rêve toujours renouvelé. Je suis le moineau dans un bocal, et ceux qui regardent le bocal savent donc bien qui je suis.» |
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« Tout est question de souffle. Se concentrer sur le mouvement de la cage thoracique, ni trop lent ni trop rapide, exhaler ni trop ni trop peu, sentir les côtes se soulever, puis se contracter de nouveau pour mieux se dilater au passage de l’air. Un dosage subtil qui tient de l’art de la méditation et de la maîtrise parfaite de soi pour avancer même en terrain hostile, coûte que coûte, sans faiblir, sans faillir. Sans réflexion, pousser le corps plus loin pour que la machine de chair et d’os continue à se déplacer en un mouvement perpétuel. Dominer la souffrance, les orteils sanglants, la voûte plantaire cloquée, les muscles crispés, les articulations douloureuses, les envies de vomir. Et surtout, surtout, fuir le point de côté, qui brise tout élan, par une inspiration méticuleuse et calculée qui se calque sur la foulée. » |
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Pouce est le monologue d’un jeune gars d’aujourd’hui, qui explique pourquoi il devait se débarrasser de l’homme qui le poursuivait. « C’était lui ou moi. J’avais pas le choix. Je me suis vu crever. Il fallait qu’il arrête. » A partir de là, il reste à trouver les bons arguments pour justifier un meurtre. Création par le Théâtre des Gens à Neuchâtel en octobre 2000. Arrête de rêver, l’Etrangère est une pièce biographique et politique. Annemarie Schwarzenbach y est présentée comme la figure tragique, emblématique, de la génération qui avait vingt ans en 1930 (Prix Bachelin de littérature, juin 2000). |
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À 20 ans, Jennylyn décide de prendre une année sabbatique pour partir à la recherche de son père qu’elle n’a jamais connu. Ce poète russe a autrefois vécu un été passionné avec sa mère, avant de disparaître sans savoir qu’il allait devenir père. |
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Une jeune migrante syrienne traverse la mer. Une jeune lectrice traverse un roman. Telle est l’étrange mise en abyme de ce livre. |
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Theresli, une mère relate la vie d’une femme commune, en réalité hors du commun. Ce récit nous permet de découvrir les conditions sociales des femmes au siècle dernier, lesquelles se consacraient corps et âme à leurs tâches ménagères pour autrui en se réalisant dans leur travail maigrement rétribué. Theresli, d’origine germanique, mariée en Suisse, a eu à subir l’animosité contre les Allemands et l’accueil hostile de sa belle-mère qui ignore tout de ce que sa bru a vécu dans son enfance : la vie d’une enfant abandonnée par sa mère munichoise dans un orphelinat, puis recueillie à dix ans par une famille généreuse à laquelle elle restera liée jusqu’à la fin de sa vie. L’auteure décrit avec soin les conditions historiques tant en Allemagne qu’en Suisse dans les différents endroits où a habité Theresli. Elles permettent de mieux comprendre ce qu’a vécu cette femme si attachante ; elles renseignent sur les conditions de vie du siècle dernier et les sacrifices qu’une veuve pouvait assumer pour offrir un meilleur avenir à ses deux filles. Avec le retour de l’individu sur la scène historique et l’intérêt porté à l’histoire du quotidien et aux « petites gens », ce roman est un témoignage passionnant. François Jequier, Professeur honoraire d’histoire de l’Université de Lausanne |
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François Buhler, dans ce livre d’une écriture originale et d’un genre inédit, déconstruit des textes antérieurs, se les réapproprie, les remonte dans une dynamique autonome, assemblant dans une marqueterie bien jointe les plus beaux fragments de textes des plus grands auteurs de tous les temps et dépassant en les fusionnant les genres traditionnels du poème, du poème en prose, de la nouvelle, du roman et de l’essai. Mais si presque tout ce qui est présenté ici a déjà été dit, ce qui n’a jamais été dit ainsi n’a jamais été dit. Et c’est pourquoi, cette œuvre, à notre avis une incontestable réussite, nous fait irrésistiblement penser au rêve impossible exprimé par tant d’écrivains d’un livre à la fois nouveau et qui contiendrait tous les anciens, celui que l’on emporterait sur une île déserte pour remplacer toute une bibliothèque… Claudio Leubacher. |
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Six nouvelles, six femmes sous les pas desquelles, soudain, le sol se dérobe, qui, à la dérive, emportées par des courants contraires, s’efforcent de regagner une rive familière, la sécurité de naguère. La mère de la petite Rosalie, menacée par l’intrusion dans son existence d’une étrange voisine, compatissante ou désireuse de lui voler son enfant ? Promeneuses égarées dans la brume, une tempête de neige ou les profondeurs ambiguës d’un tableau. Amie dévouée, victime de sa bonne volonté. Épouse recluse dans sa maison au chevet de son mari malade. De pas en pas, de jour en jour, l’étoffe de leur vie, de leurs rêves se déchire. |
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Frank Martin est un compositeur suisse, fondateur de la Société de musique de chambre de Genève, qu'il a dirigé en tant que pianiste et claveciniste pendant 10 ans. |
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Une femme questionne un homme qu’elle ne connaît pas. De digressions en confidences, les interrogations révèlent celle qui les formule et en dessinent le portrait. C’est un texte tour à tour pertinent et candide, drôle ou grave, qui parle autant du manque d’amour que des exigences impossibles de la conjugalité. |
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Le Home est moderne et haut de gamme: fitness sous la conduite d'un coach, atelier de poésie, séances de développement personnel, cuisine gastronomique. Sont organisés des sorties en campagne, des visites de musées, des spectacles. Un prêtre passe une fois par semaine. Tout est fait pour le confort des pensionnaires. |
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RÉPLIQUES |
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Face aux tourments de la vie, Yolande Favre s'est inventé une thérapeutique du monde : absorbé des pilules kilométriques, des capsules cartographiques, des potions magiques de latitudes improbables et de longitudes inconnues, elle est partie à pied, en stop, en train, en bus, en avion ; elle a marché, elle a parcouru, erré, elle a déambulé... Elle a tenté de faire silence, d'apaiser le remue-ménage intérieur. La découverte de la géopoétique s'accorde à ce besoin de respiration libératrice |
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Il était temps que s`ouvrent enfin de nouvelles fenêtres sur le Pays de Neuchâtel dans son ensemble. Très courtisé dans ses hauts lieux, le canton attendait depuis des décennies qu`on en dresse un panorama plus unitaire, plus global, plus ouvert à ses visages secrets, plus attentif à ses saisons. Michael Mattsson et Lucienne Serex l`ont fait en conjuguant leur sens aigu de l`image et du mot dans un ouvrage de haute tenue. L`une comme l`autre se sont nourris de ce pays les pieds dans la glèbe, courant les prairies, les marais, les forêts, entre aurores glaciales et douces veillées, pour mieux sentir les vibrations de la couleur, mieux entendre les messages montant de la terre et mieux lire ceux qui s`inscrivent dans la transparence du ciel […] Michael Mattsson lit au ciel la promesse de nouvelles lumières, il écoute d`où vient le vent pour prévoir les orientations du givre, il a le don de faire éclore devant lui les rutilantes corolles de nos fleurs des champs. Son regard est libre et il a su s`affranchir de toute systématique. […] en d`étincelantes prises de vue, il nous révèle, page à page, le pays de Neuchâtel tel qu`il est, sans céder à la moindre sublimation qui puisse en altérer la simple et belle réalité. C`est à la fine plume de Lucienne Serex qu`il revient d`apporter à l`œuvre le supplément d`âme qui lui confère une de ses caractéristiques les plus singulières. […] Seule l`inspiration poétique de leur auteure - presque toujours puisée dans la nature elle-même, à l`appel d`une prise de vue - en a dicté les mots, arrangé les séquences et imposé les rythmes, seule la sensibilité de l`écrivaine leur vaut d`apparaître çà ou là dans le livre. Extraits de la préface de Jean-Pierre Jelmini Président d`honneur de l`Institut neuchâtelois |
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Du Lubéron à Shanghai, de Marseille à Diên Biên Phu, le commissaire Cartier en personne nous raconte sa dernière enquête. Des cadavres à l’aube sous un vieux pont romain, un flic équivoque, une fusillade en Avignon, des salons de massages, une aristocrate parisienne, une fumerie d’opium, des caisses de fausses montres (Cartier, bien entendu !), les rebondissements s’enchaînent. Le commissaire, contre vents et marées, poursuit son voyage dans les méandres de l’âme humaine, où le passé ne cesse de parasiter le présent et dans laquelle, selon Héraclite, « Bien et Mal sont tout un ». |
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Deux demis, c'est parfait. Du blanc bien frais pour l'apéritif entre quatre amis. Sous une tonelle, près d'une fontaine, quand on a le temps de se demander si c'est possible, deux meurtres et demi. |
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Qu'est-ce que la poésie ? Une chose inutile et précieuse qui allège la destinée de l'homme, exprime en quelques vers son mal-être et ses doutes, permet de transcender sa douleur ou de crier sa joie. Comment appeler l'émotion du poète sentant monter en lui les mots qu'il va tenter de faire chanter ? Un état de grâce ? L'attente du paradis perdu ? Une fulgurance qui le transportera ? L'instant enfui miraculeusement rendu ? Ce trouble intense impossible à définir ouvre un accès fugace à notre soif d'absolu. |
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Je me suis pris les pieds dans les mots. Eparpillés dans tous les coins. Sens dessus dessous. En marchant sur mouche et valise a surgi un équidé au galop. Un amas de lettres dans les parages. Je ne savais plus à quoi raccrocher ce main qui restait étalé, là presque sans force. Au début, à la fin de ce qui n’avait plus de forme. Des fragments avaient peut-être filé sous le tapis. J’ai failli tomber dans un tas de voyelles. Bien décidées à vivre leur vie toutes seules. Des syllabes résistaient à se remettre en ordre. Que dire de ce morceau d’alphabet, ces cinq caractères, a c e n r, dont je ne trouvais plus comment les arranger. Plus je me faufilais dans ce fouillis, plus me gagnait le trouble, l’incertain, l’indéchiffrable. À la limite de l’indicible et de l’illisible. Et à qui appartenait tout ce qui gisait par terre… |
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La trame des différents récits de ce recueil se situe dans le futur, entre 2064 et 2166, et les aventures de leurs personnages s’entrecroisent entre Paris, l’Ile Saint-Louis, Saint Germain-en-Laye, Sarajevo, Neuchâtel, Strasbourg, le Jura, Rome, Delphes, Villars, Alcobaça… Ils intègrent en toile de fond l’utopie du distributisme, un régime économique capable de supprimer la misère dans le monde entier, thème toujours d’actualité et cher à Roger-Louis Junod. |
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Lorsque le jeune Jean-Jacques Rousseau parcourt les montagnes neuchâteloises, il est si frappé par ces Montagnons trayant leurs vaches et fabricant des montres, qu’il en parle dans une lettre adressée à d’Alembert quelque trente années plus tard. |
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J’avais l’intention de célébrer la beauté de la nature qui nous entoure. Mes textes poétiques et mes photos devaient y contribuer. L’accélération du dérèglement climatique a entaché mon projet. Comment vanter le charme d’un paysage, d’une fleur sauvage ou d’un cours d’eau, sans parler de la catastrophe planant sur leur environnement ? |
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" Nos vies ont la grandeur et la fragilité des châteaux de sable, dont les grains sont inégaux à la lumière du passé. Les souvenirs n’existent pas, ils ne sont que des constructions d’épisodes vécus et réinventés, qui se mêlent, se brouillent et se mêlent encore à nos larmes, fussent-elles de joie. " |
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C’est l’hiver, mais Petit-Ours n’a pas du tout envie d’aller dormir. Il a tant à découvrir… |
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« Tout ça vient de là, de dessous nos pieds comme une sécrétion de la terre, de la terre elle-même. Le plus souvent, oui, à cause d’une qualité de la roche, dans ce qui la fait et la défait, ou de ce qui en sort, quelque chose comme des sels. » |
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De jour en jour, de saison en saison, Françoise Matthey travaille à son oeuvre poétique. Dans la lumière oblique n'échappe pas à ce permanent besoin de signifier le monde, de lutter contre le nonsens: «Les gestes quotidiens/sans cesse composés/recomposés//sauront-ils nous conduire plus loin/que l'écho rocailleux des questions insolubles...», se demande-t-elle. |
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Françoise Matthey vit dans les Franches-Montagnes (Jura suisse) où, dans la sérénité, elle continue d’écrire une oeuvre d’une haute exigence. «Le sol peut être dur ou tendre pour qui s’offre aux pistes de la vie. En tentant d’accueillir ce qui nous lie à l’univers des autres, des univers quelquefois constellés de disparus demeurés sur le seuil, d’autres où dansent les fêtes ingénues de l’enfance, où rampent peut-être des fêlures mais où se déploie aussi le bonheur de gestes bienveillants, on prend le risque de faire place à l’humain…» |
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Par ce récit, Denis Petitjean nous emmène dans le quotidien d’un internat scolaire. Il nous présente les multiples péripéties vécues durant une année par une communauté de quarante enfants et de presque autant de collaborateurs. Le lecteur ne restera pas insensible aux émotions, aux états d’âmes, aux tensions émanant d’une succession de soixante tableaux. |
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Saturé de confidences faites sur l’oreiller de papier et de JE narcissiques, l’auteur a décidé de confier le récit de son intimité la plus secrète au seul écrivain capable d’objectivité et d’humour: Monsieur On. |
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Un soir glacé de janvier, un couple de retraités allemands est retrouvé dans une tombe fraîchement creusée pour un édile du village. L’autopsie montrera qu’avant de mourir de froid, ces deux touristes ont été drogués au rohypnol, un puissant somnifère. |
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La Hague. Tout au nord du Cotentin. Ses paysages somptueux, ses vents violents. Ses usines du nucléaire... Un couple y passe des vacances dans une maison d'hôtes. La femme se lie d'amitié avec une jeune pianiste virtuose un peu farouche. L'homme arpente les chemins et les plages du Débarquement et fait la connaissance d'un vieil ingénieur qui passe son temps à mettre des bateaux en bouteilles. Chacun a ses secrets. Leur rencontre, sur les côtes sauvages du Passage de la Déroute, ce détroit redoutable aux courants contraires, va permettre de les dévoiler. |
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L’âpreté du quotidien |
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Ses pensées bourlinguent à travers l'archipel des souvenirs… A bord d’un avion entre l’Afrique et l'Europe, le toubib se remémore ses compagnons de route et leurs histoires. Trois bars, trois scènes où les personnages, aguichent, s’épanchent et disparaissent : le premier, un hôtel dans une ville en proie à la guerre civile ; le second, un bar en terrasse dans une indolente capitale ; le troisième, un débit de boissons clandestin dans un bled de coopérants. Ces protagonistes vont raconter leur vécu, un peu broder sur les faits et partager leurs angoisses, rire aussi de moments cocasses. |
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Une femme africaine raconte toute sa vie, les émois de sa petite enfance, ses rêves d'adolescente, son exil en ville, la vocation qu'elle s'est trouvée, soit le commerce d'objets artisanaux. Une activité qui la désillusionnera souvent, les traditions se perdent, les troubles politiques affectent les affaires, le marché de l'art primitif se révèle perméable à la spéculation, peu ouvert aux autochtones, encore moins aux femmes. Malgré tout, elle ne cessera de communier avec ces objets venus des profondeurs de l'âme africaine. Mais la réalité va la rattraper... |
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Hanté depuis l'enfance par la disparition de son frère, Donovan Lorrence, auteur à succès, revient sur les lieux du drame pour trouver des réponses et apaiser son âme. Aidé par une femme aux dons étranges, il tentera de ressusciter ses souvenirs. Mais déterrer le passé présente bien des dangers, car certaines blessures devraient parfois rester closes…… au risque de vous entraîner dans l'abîme, là où le remords et la honte règnent en maîtres. Où le destin semble se jouer de vous. Et cette question, qui bousculera sa quête de vérité : peut-on aller à l'encontre de ce qui est déjà écrit ? |
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Un soir d’été, sur une route des Alpes, un minibus roule à vive allure. À son bord, une éducatrice bougonne et quatre adolescents handicapés. Il y a la frêle Pauline, Bierrot, lubrique et lunaire, Goon, aussi costaud qu’irascible. Et enfin Luc, pris de panique. |
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"Pas question de pleurer sur le passé" : ce pourrait être la devise de Benoîte Crevoisier. L’écrivaine franc-montagnarde vient de publier un deuxième ouvrage autobiographique. Dans le premier, "Avec un grain de sel", elle racontait son enfance passée dans une famille paysanne, à Lajoux. Dans son nouveau livre, "Mesdemoiselles", elle évoque désormais la suite, son adolescence et ses débuts en tant qu’enseignante. Elle retrace sa vie dans les années 1950, de 13 à 18 ans. La Franc-Montagnarde a appris son métier à l’école normale à Delémont. Une école qu’elle a dû quitter précipitamment, 6 mois avant la fin de sa scolarité, comme toutes ses camarades. A l’époque, le Jura souffrait d’une pénurie d’enseignants. |
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C’est une maison verte, perdue dans une clairière. L’endroit est charmant, mais une étrange mélancolie s’empare de Josette, la nouvelle habitante du lieu. |
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Sujet d’une manipulation diabolique qui le conduit par le bout du nez dans un roadtrip vers l’enfer, Pierre n’a pour arme que son amour pour sa fille Anouk. D’autres, beaucoup plus méchants, sauront user d’un arsenal poids lourd pour parvenir à leur funèbre objectif: un horrible carnage. |
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Que se passerait-il si vous pouviez assister à la prochaine rencontre de notre Voie Lactée prévue avec la galaxie d'Andromède ? |
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Un soir, à bord d'un train reliant La-Chaux-de-Fonds à Neuchâtel, neuf voyageurs, dont un enfant et un bébé, se retrouvent bloqués dans un obscur tunnel. Soudain, une voix retentit par les hauts parleurs, les prévenant qu'ils vont devoir se battre contre des monstres terrifiants pour pouvoir survivre. Autre possibilité : s'entretuer pour faire grimper plus vite leur score, sachant que tuer un enfant rapporte beaucoup plus de points ! Les passagers s'allieront-ils pour faire face à la menace, ou l'instinct de survie individuel les amènera-t-il au massacre ? Après tout, ne dit-on pas que l'Homme est un loup pour l'Homme ? |
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« En pleine crise d’obsolescence », le narrateur prend le train pour Venise où il va prêter main forte à Silvia. Cette éternelle étudiante consacre une thèse à Léopold Robert, peintre neuchâtelois tombé dans l’oubli, mais célébré dans l’Europe entière dans la première moitié du XIXe. Silvia tente de comprendre comment il en est venu à se trancher la gorge dans son atelier, à 40 ans. Avec son acolyte, elle écume les lieux, ruelles, monuments, par lesquels le peintre est passé. Leurs dialogues, comme un match de ping-pong, ponctuent une Venise tour à tour du XIXe et du XXIe siècles. Un roman qui allie le drame et la comédie. |
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Que se passe-t-il au sein de Sanatis, le plus grand laboratoire pharmaceutique du pays ? Quel est ce mal mystérieux qui décime ses dirigeants les uns après les autres, depuis l’annonce de la commercialisation d’un médicament anticancéreux révolutionnaire ? |
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Telle la fleur jamais lasse de s’ouvrir et de se refermer, l’éveillé, autre nom du poète, poursuit sa quête sans la poursuivre, accueillant et gravant dans son corps ce qui vient à lui. Chez Luc Wenger, cette offrande ne devient suc poétique qu’au terme d’une douce reviviscence de ses impressions et sentiments, « en veillant, dit-il, à ne pas tenter d’éluder ma confusion ». Cet aveu de faiblesse est peut-être ce qui touche le plus dans ces poèmes, éclosions étonnées face à l’insaisissable – l’Amour, la Mort, la Vie ... |
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Alors qu'Hamish et Kirsty vivaient paisiblement dans le comté de Ross avec leurs enfants, la soudaine apparition d'Henri Buchanan, ancien prétendant de Kirsty, va bouleverser le cours des évènements et mettre l'amour des deux héros à l'épreuve. Des Highlands aux Lowlands, en passant par Edimbourg, la famille se déchire. |
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Confidences insolites, enquêtes brèves, énigmes improbables, épilogues inattendus, destins saugrenus… le privé Victor Aubois tantôt se délecte et s’étonne, tantôt se dérobe et se désole des surprises de son quotidien. Hommes et femmes, cabossés ou lisses, profiteurs ou victimes, délaissés ou nantis, témoins ou actifs protagonistes, les interlocuteurs de l’épicier détective révèlent les drames, les compromissions, les incongruités et les élégances qui font la saveur douce ou amère des nuits et des jours. |
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