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D'origine suisse et italienne, Emanuelle delle Piane a suivi des études de lettres et des formations variées en écriture de scénarios en France et aux Etats-Unis.
Elle a enseigné aux étudiants en cinéma de l'Université de la Sorbonne-Paris IV et donne régulièrement des ateliers d'écriture à des professionnels ou des enseignants. Elle est l'auteure de plus d'une vingtaine de pièces pour adultes et pour enfants, mais aussi de scénarios, de pièces radiophoniques et de nouvelles.
Ses pièces ont été créées en France, en Suisse, en Belgique, en Italie, au Canada, et sont régulièrement jouées.
Contact et réseaux sociaux :
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Elle aurait pu continuer à vivre paisible en dessinant ses BD de Kratz, mais Éli n’a jamais su refuser un service. Alors, quand son cousin lui demande d’aller récupérer des documents compromettants dans la maison de son enfance, elle fonce. Sacré personnage que cette maison-fantôme ! En plus des souvenirs de la narratrice, la bâtisse a abrité pendant longtemps un café-restaurant et, dans ses combles, de sulfureuses affaires… |
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Ajeya. Sie soll Ajeya heißen, die Unbesiegbare. Sie soll so viel zu essen bekommen wie ein Junge, sie soll so aufwachsen wie sie, spielen und studieren. Sie wird frei sein, intelligent, respektiert, stark und glücklich. Jawohl, glücklich. |
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RÉPLIQUES |
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Cela fait longtemps que Monsieur Legris vit tout seul chez lui dans son univers tout gris. Un jour, pour rendre service, il est contraint d'accepter un énorme paquet jaune qui défigure son salon. Livré par la poste, l'objet est très remuant. En sort, à la grande surprise de Monsieur Legris, un petit personnage haut en couleurs, Confetti, qui va s'incruster chez lui. Finie la grise routine ! Bien que remuant et multicolore, Confetti n'est pas très gai. Il est même plutôt triste. Il finit par avouer à Monsieur Legris que c'est parce que l'AMI l'a quitté. Un ami ? Quel ami ? Qui est cet ami dont parle Confetti et qui semble lui manquer beaucoup ? Un doudou, un parent, un animal ? Pour comprendre, Monsieur Legris va devoir se risquer à prendre des couleurs. |
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S'inspirant de la Convention internationale relative aux droits de l'enfant, l’auteure propose un éclairage « pleins feux » sur les réalités de l’enfance à travers le monde, les existences troublées des enfants du XXIème siècle. But : mettre en mots et en lumière les silences de « petites personnes » victimes du non-respect des droits humains les plus élémentaires. Le ton est sans détour. Sans concession. Sans jugement. Sans artifices ou fioritures. Sans mièvrerie, sans apitoiement. La parole, ici, est donnée aux enfants. Pour une fois ce sont eux qui racontent les histoires, « leur histoire », aux grands ! |
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Variations sérieuses est un cycle théâtral de dix-sept monologues évoquant la condition des femmes, des jeunes filles et des petites filles à travers le monde aujourd’hui. La pièce se fait porte-parole de celles qui ont perdu la force, le droit ou tout simplement l'opportunité de nommer leur réalité. Elle met en mots et en lumière les silences de dix-sept femmes victimes du non-respect des droits humains les plus élémentaires. |
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Un père et une mère subissent au quotidien Léna, leur fille adolescente démotivée et blasée. Léna n'aspire à rien, n'aime rien ni personne, ne respecte rien, provoque et accumule sans limite les interdits moraux et sociaux. Les parents ont beau s'acharner, ils ne pourront que constater leur impuissance face à l'éducation et au devenir de leur fille unique. Une seule solution pour eux : abdiquer. Léna, elle, choisit de poursuivre sa descente aux enfers... |
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Le Vieux séquestre dans le plus grand isolement la Mère et les jumeaux Maude et Jules. Despote primaire, il fait peser sur sa famille une peur panique de l'extérieur, son seul rapport à ses enfants passe par les tables de multiplications qu'il les force à réciter. Mais l'arrivée de l'adolescence, le besoin de vivre vraiment vont casser l'édifice de l'oppression. La guerre éclate bientôt entre les enfants et le père. |
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Emanuelle delle Piane aime décaper les certitudes avec une ardeur farouche Chacun de ses sujets est une manière de mettre le feu à des portraits de vie, avec du piquant et du mordant, du tendre parfois et de l'humanité toujours. |
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La confiserie de Monsieur Bonbon et de ses deux filles, Guimauve et Réglisse, est réputée à mille lieues à la ronde pour sa spécialité : la larme au sucre – petit bonbon liquoreux et transparent, rare et très cher, dont la recette est tenue secrète par le confiseur. |
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A partir d'images de bancs publics, Emanuelle delle Piane échafaude dix-sept petites histoires non exempte de noirceur et de cruauté, voire d'un brin de perversité. Aigreur haineuse des vieux couples, nostalgie d'un premier amour, rejet des gros. Des histoires rarement éclaboussées de rose mais jamais convenues, où l'on croise de drôles d'artistes et de drôles de voisins. Ambiance petits fours au manoir ou même ambiance polar. Brassens a déjà chanté les amoureux qui se bécotent sur les bancs publics, elle n'y reviendra pas. |
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Marquée depuis l'enfance par l'arrivée du courrier, je fais partie de ces personnes qui guettent chaque matin leur boîte aux lettres dans l'espoir de recevoir la bonne nouvelle, le mot inattendu ou le signe d'un ami. L'itinéraire qu'une lettre doit emprunter avant d'arriver à destination, le fait qu'elle se noie avec d'autres dans un flot de papier, qu'elle passe de sac en sac, de main en main, de boîte en boîte... c'est ce que j'ai tenté d'imaginer. |
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S'il existe une ville où la lessive s'expose, c'est bien Naples. Presque un cliché. A la limite d'une animation destinée aux touristes. Au contraire, en Suisse, interdiction d'accrocher le moindre drap à l'extérieur de son balcon, excepté un drapeau. D'où l'utilité des buanderies, du fil de fer suspendu au-dessus de la baignoire, voire du bête radiateur. |
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Il était une fois, quelque part dans une vallée pas comme les autres, des fées... Des fées qui, venant d'une époque lointaine, côtoyaient et se mêlaient aux gens du pays. Bonnes ou mauvaises, chacune possède des dons particuliers qu'elle met souvent à contribution pour accomplir sa mission. |
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La rue de l'Envers est devenue une impasse suite aux innombrables constructions modernes. Deux personnes habitent encore dans la seule vieille maison de la rue. Il y a Ninette, une vieille dame qui vit seule avec son perroquet Caruso et son poisson rouge Moby Dick, et Lucien, le vieux brocanteur très conservateur. Elle rêve de partir très loin, pour aller aider des gens pauvres et se sentir enfin utile. Lui déprime à la vue des transformations du quartier. Max et Zac, deux adolescents, vivent dans la même rue, dans les immeubles flambant neufs. Depuis leur poste d'observation, ils découvrent qui sont réellement leurs deux voisins âgés qui semblent vivre dans un autre temps! |
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Marie et Line, deux sœurs jumelles, ou deux filles identiques – à moins que ce ne soit Marilyne? – parlent de leur mère. |
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Les questions, c'est par milliers qu'on y répond. Les questions, ça commence tout petit, ça ne s'arrête pas. Les questions, c'est une question d'habitude. On s'y fait. Soi-disant. |
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Malgré l'ambiguité du titre (on pourrait croire qu'il s'agit de deux pièces distinctes), les deux pièces n'en font qu'une, l'armoire finissant, mais in extremis, par succéder au tiroir évoqué dans le préambule de la comédie. Une comédie d'autant plus légère, désinvolte même, que le sujet en est sérieux : comment s'y prendre quand on est fille pour se dépêtrer d'un amour maternel vampirisant. S'inventer des secrets? Déménager? Couper les ponts? Séduire un collègue de bureau? |
Adatte Jean-Marie | Amstutz Thierry | Barbalat Sylvie | Berger François | Beuchat François | Bex Catherine | Bezençon Hélène | Bonca Francis | Bregnard Jean-Pierre | Brunko-Méautis Ariane | Buhler François | Burger Anne | Caldara Alexandre | Chappuis Michel-Antoine | Chappuis-H Pierre | Chatelain Sylviane | Corbellari Alain | Cornuz Odile | Darbellay Claude | Delle Piane Emanuelle | Favre Yolande | Fournier Jeanne K. | Frochaux Claude | Gindraux Pierre | Girardier Serex Lucienne | Hainard François | Hippenmeyer Claude-Eric | Houriet Claudine | Jeanneret Hubert | Jobin Gilles F. | Jobin Jean-François | Maier Claude | Mairy Frédéric | Mandy Caroline | Mantoan Chiantaretto Aline | Marcacci Sandro | Matthey Françoise | Miralles Dunia | Petitjean Denis | Pheulpin Laurent | Pingeon Gilbert | Rákóczy Ferenc | Reber Jean-Marie | Rebetez Philippe | Rebetez Monique | Richard Hughes | Robert Claude-François | Robert Dominique | Robert Yves | Rochat Jean-Pierre | Rousseau Nicolas | Ruiz Martin David | Sandoz Thomas | Saucy-Crevoisier Benoîte | Sbrissa Isabelle | Schneeberger Marianne | Schütz Frédéric | Simon-Vermot Roger | Steiner Charles-André | Surdez Françoise | Thévoz Frédy | Tissot Joane | Tondin Kevin | Voisard Alexandre | Vuillème Jean-Bernard | Wagner Kate | Wenger Luc | Wirth Corinne | Zufferey Rachel | Zumwald Jean-Claude |