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Jean-Marie Reber
Jean-Marie Reber

Après des études de droit et de journalisme, Jean-Marie Reber a pratiqué la profession de journaliste en Suisse romande entre 1972 et 1981.

Nommé chancelier d’Etat en mars 1981, il a exercé cette fonction jusqu’en 2009, soit pendant 28 années. Il racontera cette période dans un « Traité de toute petite histoire » intitulé « La Vie de Château » paru en 2009.

Depuis lors, il a consacré le plus clair de son temps à l’écriture.


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Les dernières parutions de Jean-Marie Reber :
Jean-Marie Reber - Le serment de Treptower Park

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Un soir glacé de janvier, un couple de retraités allemands est retrouvé dans une tombe fraîchement creusée pour un édile du village. L’autopsie montrera qu’avant de mourir de froid, ces deux touristes ont été drogués au rohypnol, un puissant somnifère.

La police prend l’affaire très au sérieux avec l’aide de la Landespolizei de la ville d’Ulm où était domicilié le couple. Malgré toutes les recherches mises en œuvre, l’enquête s’avère être un échec. C’est alors que la fille du couple assassiné va demander l’aide de Max pour se porter partie civile et trouver le ou les meurtriers de ses parents.

Max, qui ne sait rien refuser aux femmes désespérées, va se mettre en piste… Son enquête le conduira jusqu’à Berlin et le plongera dans un passé déchiré par un certain Mur. Il y découvrira que la vendetta n’est pas une exclusivité corse…

Jean-Marie Reber - Relax Max !

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Lorsqu’à la demande de son président, Max est allé présenter ses condoléances à Gina Renard, la veuve d’un camarade de club, il était loin de s’attendre à l’injonction de cette dernière, moins éplorée qu’il pouvait s’y attendre. Ne le charge-t-elle pas de découvrir au plus vite l’identité de la maîtresse de son mari décédé dans un curieux accident de voiture ? Or, Max n’a rien d’un détective privé. Ce n’est qu’un avocat qui vivote comme il le peut, secondé par son amie Sophie qui l’aide à mettre du beurre sur les épinards grâce à ses talents de diététicienne dans des homes pour personnes âgées.
Non sans hésitation, Max va accepter le mandat proposé par Gina car il est synonyme de revenus très appréciables et Gina est attirante même si elle fricote d’un peu trop près avec la mafia napolitaine… Bien que menée parfois avec nonchalance, son enquête va le conduire à des découvertes surprenantes.

Jean-Marie Reber - Un suspect bien maladroit

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Le commissaire Fernand Dubois aspire à une promotion : le poste de chef de la police judiciaire lui sourit. Quoi de plus normal ! Il est l’homme de la situation. Sauf que… Sauf qu’une «amie de la famille», Clara est retrouvée morte dans son appartement et que l’enquête désigne le commissaire comme un des principaux suspects. Très compromis, l’intéressé va-t-il réussir à se tirer d’affaire ? Une intrigue à rebondissements où l’on découvre que la vie sentimentale de la victime était du genre compliqué, où l’on fait la connaissance d’un voyeur bien équipé et particulièrement retors, et où l’on se rend dans les Montagnes au Château des Merveilles, charmant musée d’horlogerie ancienne qui a le malheur d’être victime d’une tentative de cambriolage par un trio roumain qui n’est pas composé d’enfants de chœur. Au-delà de sa dernière enquête, Fernand Dubois est confronté au péril qui menace son couple. Malgré ses faiblesses et ses imprudences, va-t-il sauver sa relation avec sa femme, la charmante Giselle ?

Jean-Marie Reber - Coccinelle, jolie coccinelle

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Lorsque Frédéric Marelle est retrouvé sans vie au milieu de la nuit dans ses escaliers, on croit d’abord à une attaque de cet emphysème qui le minait depuis longtemps. Mais il faut vite se rendre à l’évidence : la victime a été étranglée et son meurtrier lui a collé sur le front un timbre-poste représentant une coccinelle.

Le commissaire Dubois redoute alors que cet étrange meurtre ne soit pas le dernier avec cette signature et que bientôt la coccinelle fasse d’autres victimes. Il paraît en effet que cet innocent insecte nettoie la nature de mille pucerons nuisibles et indésirables. On lui donnerait le paradis sans confession, d’où son surnom de bête à bon Dieu.

Notre commissaire sait qu’il ne va guère être aisé de confondre le ou les meurtriers qui s’approprient cet aimable coléoptère. Son enquête aux nombreux rebondissements va peu à peu lever le couvercle sur un passé nauséabond où se mêlent coupables et victimes d’hier et d’aujourd’hui.

Jean-Marie Reber - Le valet de coeur

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L’inspecteur Fernand Dubois est devenu commissaire. Il est cependant d’humeur morose lorsque sonne à sa porte un ancien camarade d’études, Sigismond Lebel, qu’il a perdu de vue depuis une trentaine d’années et qui, à sa surprise, lui demande l’hospitalité.
Témoignant d’un goût immodéré pour la vodka et les femmes, Lebel va se trouver mêlé au meurtre de sa très jeune amie et Dubois se trouvera contraint de céder la responsabilité de l’enquête à son adjoint, l’inspecteur Jésus Minder, tout en suivant de près son déroulement et ses progrès.
Un second meurtre (lié au premier ?) viendra compliquer les recherches de la police mais l’équipe du commissaire réussira finalement à confondre les coupables.
Cette intrigue se double de la tragique mort d’un petit enfant laissé sans surveillance sur un balcon et des frasques d’une magistrate trop sensible au charme d’un petit dealer à la moralité plus que douteuse…

Jean-Marie Reber - Rira bien qui rira le dernier

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La mort de Gontrand de Montmollin était-elle vraiment naturelle ou a-t-elle été «provoquée», comme le prétend une lettre anonyme accusatrice ? Malheureusement pour l’inspecteur Dubois, le corps du défunt est déjà incinéré lorsque l’affaire lui est transmise…
Certes, les mobiles d’un possible meurtre ne manquent pas. Notable fortuné, réglant ses comptes dans de petits romans assassins, Montmollin ne s’est pas fait que des amis tout au long de son existence. Ne prévoyait-il pas en outre juste avant son décès de se dessaisir de toute sa fortune pour le plaisir de léser toute sa famille ?
Mais pour l’inspecteur Dubois, si les mobiles et les suspects sont nombreux, les preuves sont cruellement absentes. Il va lui falloir jouer serré !

Jean-Marie Reber - Les meurtres de la Saint-Valentin

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Pourquoi deux très jeunes filles sont-elles assassinées au cours de la nuit de la St-Valentin ? Ces deux meurtres sont-ils liés ? L’amour, la jalousie, le trafic de drogue expliquent-ils ces deux affaires qui suscitent l’émotion qu’on peut imaginer ? L’inspecteur Fernand Dubois et son équipe vont patiemment s’employer à dénouer les fils de ces crimes où les suspects, de l’amoureux transi, à l’amant bellâtre, ne manquent pas.

L’enquête plonge les policiers dans le passé des deux victimes. Celui-ci est si trouble qu’il rappelle à l’inspecteur Dubois « Le Paradis blanc », cette chanson de Michel Berger où il dit : «Il y a tant de vagues et de fumée qu’on n’arrive plus à distinguer le blanc du noir»...

Jean-Marie Reber - Le parfum de Clara

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Où l’on fait la connaissance de l’inspecteur Fernand Dubois, de la police judiciaire, terrassé par une méchante grippe qui le cloue au lit. Ce qui n’empêche pas un de ses proches voisins, Pedro Rodriguez, de tout à coup disparaître sans crier gare. Bien que souffrant, Dubois décide de mener l’enquête à la demande de l’épouse du disparu, la séduisante Clara et découvrir la personnalité trouble, inquiétante à certains égards, du disparu. Rétabli, il va poursuivre ses recherches et finalement résoudre le mystère avec l’aide notamment de son adjoint, l’inspecteur Jésus Minder.

Où l’on découvre l’univers familial de l’inspecteur Dubois, sa femme Giselle et leurs deux jumeaux de huit ans, Grégoire et Francine.

Où l’on apprend que Fernand Dubois aime le cinéma et les détectives privés et qu’il se verrait très bien en Philip Marlowe.

Où, enfin, l’on prend plaisir à se laisser conduire au fil de l’intrigue à travers les forces, faiblesses, contradictions et zones d’ombre de la nature humaine.

Jean-Marie Reber - La Vie de Château

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«Une Vie de Château», tout enfant en rêve en s'imaginant un univers féerique, étrange ou au moins inconnu. Chancelier de l'Etat de Neuchâtel depuis 1981, JEAN-MARIE REBER a pu vivre cette «Vie de Château» au quotidien, partagée avec les autorités administratives et politiques du canton. Au moment de se retirer, il nous fait entrer dans ce monde parfois assez particulier, que chacun croit connaître mais qui révèle de nombreuses surprises.
Ce livre est truffé d'anecdotes qui en disent souvent plus long sur une époque que les grandes lignes des manuels d'histoire classiques. Il aborde tour à tour l'administration, le Conseil d'Etat et le Grand Conseil, les relations entre le monde politique et la presse, les visites des diplomates et des chefs d'Etat étrangers, les rapports entre la Berne fédérale et le canton de Neuchâtel. L'unité de ton soutient l'unité du sujet, présenté sous des facettes variées. N'attendez pas la révélation de quelque secret d'Etat ou de règlements de compte. Ce témoignage retient pour la mémoire collective ce que la Grande Histoire» s'empresse d'écarter de ses travaux, oubliant parfois trop vite l'activité humaine qui en est la chair.